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Me connecter / Créer mon compteL'Aviron Bayonnais a organisé la randonnée des trois rivières du 3 au 5 juin sur le weekend de la Pentecôte. L'équipe d'organisation était facilement reconnaissable à sa casquette très tendance. Et, avec une expérience de plus de 25 ans, le programme était bien au point.
Samedi matin
11h00 Les bus partent du club, la voiture est garée devant le lieu d’hébergement pour les trois jours, go ! Une heure arrivée sur le site du départ à Saubusse petite bourgade landaise, apéritif offert par la municipalité, bon début.
13h30 Réunion des délégués, 23 kms qui nous séparent de Peyrehorade, il pleut... Départ tous ensemble 14h30
17h On arrive à Peyrehorade, là on met les bateaux à dormir et on prend le bus jusque Bayonne.
On prend possession de notre lieu de résidence, soirée à la Txunga, belle réussite en musique, les jambes sont lourdes.
Dimanche
8h15 "Bon Dieu pourquoi on ne peut pas dormir plus longtemps", fera-t-il beau ? Statistiquement il doit pleuvoir, c'est bon pour la récupération.
11h00 Breakfast à la brasserie de l’Aviron et 12h Départ en bus pour Peyrehorade
14h00 On retrouve les bateaux et on file vers Bayonne (36 kms), allez courage : marée descendante, petit coef.
RDV 20h00 au garage à bateaux de l'Aviron Bayonnais et on vous amène vers là destination "tiap", un endroit très particulier caché dans les bas fonds de notre belle ville, du Vauban tout simplement. Les jambes sont encore plus lourdes…
1500 tapas à manger
Lundi
09h00 RDV au garage à bateaux de l'aviron Bayonnais pour un embarquement vers Ustaritz, ancienne capitale de la province basque du Labourd au temps où les Anglais occupaient Bayonne.
Aller-retour (18 kms) sur la plus belle place d'aviron du Pays Basque (chauvins ? point du tout !!) et l'heure de la marée, une de plus que la veille.
Vite vite remontage des bateaux, à 13 heures , c'est l'apéro de Mr Le Maire de Bayonne !
13h30 dernière rencontre dans l'intimité (200 affamés plus quelques décibels supplémentaires dus à la présence des musiciens de notre copain Gérard).
Bon voilà, on y est, c'est la fin, on a plutôt le nœud au ventre et on espère que tout s'est bien passé, les rameuses et rameurs nous embrassent, on se pose, on boit le champagne.
Ceux qui repartent en train ou en avion et qui n'en peuvent plus seront raccompagnés en minibus, toujours un regard sur l’excellence du réceptif basque.
L’année prochaine il fera soleil…